Arrivée de Christine épouse de Valmeu

par Christine de st Max Mer 5 Déc 2012 - 20:25

L'absence de son époux commençait à lui peser sérieusement , elle demanda donc à des amis de l'escorter jusqu'à Rouen avec sa fille
A force d'absence elle ne connaîtrait jamais son père
Elle décida sans lui dire de prendre la route et d'aller voir si il ne les avaient pas oublier
Elle frappa à la porte assez fort tenant son bébé dans les bras , si on lui ouvrait elle renverrait ses amis
Et puis sa cousine Jenjitai il fallait qu'elle l'a voit aussi , elle n'avait pas pu aller à l'enterrement mais elle l'a soutiendrait tout de même

"TOC ... TOC..."

par **Valmeu** Mer 5 Déc 2012 - 21:39

Valmeu allait quitter l’auberge de la charité lorsqu’il perçut le bruit mat du heurtoir sur la porte de l’entrée principale du lieu d’accueil….Il n’aurait pu expliquer pourquoi mais son cœur se mit à battre la chamade sans explication rationnelle.
Lui dont la stature était posée et le corps de bonne charpente dut s’assoir un instant…sans comprendre il se dirigea ensuite vers la porte et l’ouvrit tout lentement….

OOOOhhhhh !!!!

Le souffle vint à lui manquer, l’émotion était trop forte ! Les mots ne sortaient plus….Seuls quelques balbutiements incompréhensibles parvenaient à franchir le seuil de ses lèvres subitement devenues sèches.
Sa verve coutumière s’était envolée comme feuilles le font en automne lorsque se lève le mistral sur sa Provence natale…
La Provence justement ! Christine l’avait quitté !! Elle était là devant lui ! Tenant dans ses bras leur petite fille Mélissandre.

Chrrriss…, Melis…ma fiiille !!

Il sentit ses yeux s’embuer et sa gorge se nouer …Ses jambes fortes, n’étaient en cet instant plus que flanelle…il se surprit à sourire en pensant qu’une simple chiquenaude d’enfant aurait put le mettre à terre.

Les mots ne venaient toujours pas, il fit un pas en avant, vrillant ses yeux bleus azur dans le regard vert profond de son épouse, son bras droit enlaça doucement le buste de leur enfant, tandis que le gauche serrait Christine tendrement.

Il les entraîna vers l’intérieur de l’auberge tout prêt de L’atre qui crépitait joyeusement…loin du vent et de la froidure qui régnaient au dehors.
Il continuait à serrer les êtres chers contre son corps protecteur…sans mots dire.
Un long moment passa ainsi, puis la chaleur du feu aidant il parvint à surmonter l’émotion qui ne le quittait toujours point

Christine mon aimée ! Je ne m’attendais point….Mon cœur chavire de bonheur !

Tout en parlant il couvait du regard sa femme et son enfant, les embrassant sans cesse l’une après l’autre….Il n’avait que rarement goûté à une telle joie de part le passé.

Il les emportait maintenant vers le fauteuil tout proche, faisant asseoir Christine avec milles attentions....si sensible et si doux, qu'on eu put croire qu'elles étaient de cristal modelées.
Mélissandre toujours sur les jambes de Christine, il se positionna à genoux lui-même face à elles, prêt à boire leurs paroles….L’attente avait été trop longue…beaucoup trop longue !

Mon aimée dis moi raconte…ton voyage….comment te portes tu ainsi que notre fille…elle a bien grandie… !!!

Tout à coup les mots fusaient…Un éclat de rire incongru, synonyme de bonheur, fit suite à ses questions….Il les buvait littéralement des yeux.

par Christine de st Max Mer 5 Déc 2012 - 22:04

Il ne fallut pas attendre longtemps la porte s'ouvrit et ...

OOOOhhhhh !!!!

"OHHHH , mais... comment cela se fait il ? tu savais ... tu ..mais ...comment , pourquoi toi qui ouvre"

Puis elle se laissa enlacer quel bonheur de le retrouver enfin , de voir qu'il ne les avaient pas oublier , elle pensait pourtant...
Elle le couvait des yeux , émerveillée par son bonheur de les retrouver ,de petites larmes s'écoulèrent , des larmes de joie

Mon aimée dis moi raconte…ton voyage….comment te portes tu ainsi que notre fille…elle a bien grandie… !!!

Rire après les larmes de joie

"Je ne pouvais plus supporter ton absence mon bien aimé, et inquiète pour notre fille qui ne voyait pas suffisamment son père , et Jenjitai la pauvre , je n'ai pu arriver à temps pour les funérailles, et puis ... puis je croyais mon aimé qu'il était interdit de venir ici , crois tu que cela posera problème, je ne sais ou aller en dehors d'ici, oh mon aimé je ne puis rester si loin de toi et ..j'ai tenté , je voulais te voir, j'avais peur que tu refuses et ..."

Une inspiration, grande inspiration , elle avait parlé sans discontinuer elle avait tellement de chose à lui dire
Elle posa sa main sur son visage et le caressa doucement avec beaucoup d'amour, puis posa ses lèvres sur les siennes , délectation , bonheur si grand , son coeur battait la chamade allait il sortir de sa poitrine

Ma cousine , comment va ma cousine ? crois tu que je pourrais rester, j'ai faim et soif et la petite dois aussi manger,oh mon bien aimé pardon voila que je te donne du soucis

par **Valmeu** Ven 7 Déc 2012 - 13:11

"OHHHH , mais... comment cela se fait il ? tu savais ... tu ..mais ...comment , pourquoi toi qui ouvre"

Je savais que c’était vous…Je n’aurais su dire pourquoi, mais dès l’instant où tu as frappé à la porte je l’ai su…

Sourit tendrement à son épouse et à sa jeune enfant

"Je ne pouvais plus supporter ton absence mon bien aimé, et inquiète pour notre fille qui ne voyait pas suffisamment son père , et Jenjitai la pauvre , je n'ai pu arriver à temps pour les funérailles, et puis ... puis je croyais mon aimé qu'il était interdit de venir ici , crois tu que cela posera problème, je ne sais ou aller en dehors d'ici, oh mon aimé je ne puis rester si loin de toi et ..j'ai tenté , je voulais te voir, j'avais peur que tu refuses et ..."

La séparation fut aussi dure à mon cœur qu’elle fut difficile au tient mon aimée…
Ne point sentir ta présence quotidienne et ne pas pouvoir voir grandir notre enfant commençait à m’être insupportable.
J’allais repartir lorsque l’injustice a durement frappé à la porte de ta cousine Jenjitai.
De surcroît, je connaissait un peu Rogue qui était un homme admirable!...Repartir à ce moment là ne pouvait point se concevoir…Jen avait besoin d’amis à ses côtés pour faire face.

Tu m’as devancé de très peu car j’allais te demander de venir parmi nous.
Je suis devenu comme tu sais Tribun de l’Ordre Lescurien et comme tu le verras par toi-même la vie icelieu est intense, douce et régénératrice….Loin des vicissitudes du quotidien, l’âme se ressource auprès de vrai amis.

Prend un air faussement sévère, ses yeux pétillant de bonheur trahissent le débordement d'amour qui émane en cet instant se son être....Voudrait arrêter le temps malheureusement ne le peut....Injustice qu'à fait le Tres Haut aux hommes que ne pas leur donner le pouvoir de conserver l'instant fugace des bons moments de la vie....

Comment as-tu pu penser que j’eu pu refuser ta présence alors que j’en rêve chaque jour…et ma fille ? elle me manquait tant !

Taquine le bout du petit nez de Mélissandre en disant ces mots

De telles pensées ne sont point de mise voyons ! Tu mériterais que je te gronda !...mais là vraiment je n’en ai point le cœur ! Tout au contraire !

La serre à nouveau tout contre lui, dépose un baisé sur son front

Ma cousine, comment va ma cousine ? crois tu que je pourrais rester, j'ai faim et soif et la petite dois aussi manger, oh mon bien aimé pardon voila que je te donne du soucis

Comme je te l’ai écrit Jenjitai se remet peu à peu, les funérailles de Rogue son époux ont eu lieu, et je pense que le temps va faire œuvre d’apaisement...Peu à peu...

Ta place est parmi nous mon épouse, je vais de ce pas demander l’autorisation de faire ouvrir chambré à toutes deux au recteur de l’Ordre.
Mon Frère et ami Daniel Henriques…un homme admirable et un vrai ami…ne me refusera pas cela.

Il n’est aucun soucis que tu me donnes…Votre présence me rend le plus heureux des hommes !... Arrête avec ça veux tu!... sinon je te gronde pour de bon!

Par de son rire franc et communiquatif

Mais trêve de bavardage il faut que vous vous restauriez un peu toutes les deux je ne puis supporter que vous puissiez être dans ces besoins !
Cela tombe très bien suivez moi une petite collation est en train d’avoir lieu, j’en suis l’organisateur…Ainsi je vais pouvoir vous présenter à tout nos amis …et te vas pouvoir revoir Jenjitai !

par Christine de st Max Dim 9 Déc 2012 - 10:29

Christine couvait son époux des yeux , Dieu comme il lui avait manqué
Elle se leva et lui donna sa fille

"Je vais donc de ce pas remercier mes amis qui m'ont conduite jusqu'ici , prend la petite s'il te plait , mes bras pourrons ainsi se reposer ,je te suivrais ensuite au réfectoire j'ai hâte de voir ma cousine"

Elle lui sourit amoureusement , puis sortit pour remercier ses amis qui l'avait accompagné jusqu'ici

par **Valmeu** Dim 9 Déc 2012 - 14:10

Valmeu prit sa fille dans ses bras et l'enserra avec avec tout l'amour dont son coeur était capable...Sa main se posa ensuite sur l’épaule de sa douce épouse.
La voir repartir même pour aller remercier ses amis sur le pas de la porte lui paru difficilement supportable. Il parvint à se raisonner tout de même , non sans prendre sur lui pourtant...

Vas mon aimée, ne tarde point trop, car les quelques amis qui se sont absentés du réfectoire ne vont point tarder à faire retour....
En t’attendant je vais m'occuper de notre merveille !

Frère Daniel le Recteur de l'Ordre a bien sur donné son accord afin que tu puisses rester avec nous le temps qu'il nous plaira, il a hâte de te connaitre.
Tu fais partie désormais des nôtres...

Christine De St Max future soeur Lescurienne...Peut être, voire surement...cela lui plaisait bien. Il porta sur son épouse un regard amoureux, tout de velour et de roses perlées.
Il commençait déjà a faire sautiller très précautionneusement sa jeune enfant sur ses genoux tout en lui adressant moult "gouzi gouzi" affectueux ...Il se sentait redevenir enfant et ne voulait surtout pas s'en priver. Smile

par Christine de st Max Dim 9 Déc 2012 - 17:57

Christine remercia ses amis , leur fit savoir qu'ils pouvaient à présent rentrer chez eux
Elle revint aussi vite qu'elle put et en arrivant aux pas de la porte se régalait de voir son époux jouer avec sa fille
Elle profita un instant , resta plantée dans l'entrée sans faire de bruit
Elle se rappela toutefois que son époux lui avait dit qu'il était pressé de rejoindre les autres donc

"Voila qui est fait mon bien aimé, nous pouvons y aller"

par **Valmeu** Dim 9 Déc 2012 - 18:40

Sourit à son épouse, se lève...garde son enfant sur son bras droit et donne l'autre main à Christine

Et bien mon aimée! Suis moi donc!

Lui dépose un doux baisé sur le front et file en sa compagnie vers le lieu de réjouissance..

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