Salle Bienheureux Pouyss, salle de remise des diplômes

Ce fut avec grande joie que Valmeu fit son entrée dans la salle du Bienheureux Pouyss.
Il était heureux de pouvoir remettre le diplôme à sa première élève...Sœur Glory avait était sérieuse et assidue, et le résultat avait était à la hauteur des espérances du tribun.

Peccatore, Carmen et quelques autres l’avaient déjà précédé dans la salle de remise des diplômes.

Une ambiance tout à la fois austère et joyeuse se dégageait du lieu.
Le tribun sourit en pensant que contrairement à la pensée commune ces deux adjectifs pouvaient ne point être complètement incompatibles.

Il prit un peu d’altitude en montant la marche qui séparait la chaire officielle du reste de la pièce

Mes amis ! Sœurs et Frères de l’Ordre ! Je suis heureux et fier de pouvoir remettre aujourd’hui son diplôme de médicastre à notre sœur Glory !...je pense qu’elle ne va point tarder à apparaître car je désire faire louage publique du travail ardu et sérieux qu’elle a fourni.

Sur ces mots le tribun se servit une coupe d’eau claire en prévision du petit « panégyrique » dont il allait bientôt devoir se fendre.

Glory arrive dans la salle, un peu timide, il y avais du monde, toutes ces personnes qu'elle ne connaissais pas, et qui était la pour elle.

C'est avec une grande émotion qu'elle ce dirige vers son professeur, Frère Valmeu, un homme qu'elle apprécier, pour sa patience, et ces conseils, sa simplicité, et surtout une personne qui avais su la mettre a l'aise des le début.

Bonjour mon Frère, j'espère que je ne suis pas en retard?.

Puis une femme s'approche de Glory.

"- Félicitations, ma Sœur, même si je ne te connais pas!"

Merci infiniment ma sœur c'est une joie pour moi d'être ici par mis vous tous, et comme vous dite, même si l'on ne ce connais pas.

Glory toute discrète attendais près de son professeur, la suite des événements.

Valmeu, regarde Glory avec un grand sourire et lui tend son diplôme.

Ma soeur voici pour toi, tu l'as bien mérité!...Tu pourras également je pense, enseigner icelieu dès que notre Recteur auras donné également son aval...

C'est avec grande émotion que Glory prend le parchemin tendu par son professeur.

Merci infiniment mon Frère, je suis tellement ému que je ne sais quoi dire.

Puis ce retourne vers toutes les personnes présentes.

Je vous remercies tous également, même si l'on ne ce connais pas, j'ai toujours était bien accueilli, que ce soit pour mon baptême ou pour mon diplôme de médicaste.

regarde avec un grand sourire Carmen.

Ma sœur sachez que si vous avez besoin, je suis a votre disposition, ce serais avec fierté que j'accepterai d'enseigné la médecine en ces lieux.

De même, le Recteur s'avança vers la diplômée et dit :

Toutes mes félicitations, ma sœur !

Il y avait moins de chaleur chez Peccatore que dans les congratulations de Carmen ou Valmeu, mais cela était uniquement dû au caractère peu expansif du Franc-Comtois.

De même, il se tourna vers le professeur et lui donna une accolade sincère.

Félicitations à toi aussi, Valmeu. Je n'ai naturellement aucune objection à ce que Glory devienne un jour prochain professeur au séminaire médical.

Il apprécia les paroles de Carmen qu'il approuva d'un hochement de tête. À vrai dire, il était toujours un peu gêné lorsqu'on lui demandait des autorisations pour le séminaire médical. S'il avait, et seulement depuis son élection au Rectorat de l'Ordre, voix au chapitre du séminaire médical, il ne tenait pas à être vu comme un échelon hiérarchique (ce qu'il n'était pas, d'ailleurs). Aussi était-il heureux de voir que Carmen prodiguait ses conseils avisés à la jeune médecin. Peccatore avait une idée en tête.

Il fut tiré de ses pensées par l'appel de la charmante Hispanique à manger. Elle n'avait pas tort !

Oui ! fit-il dans un sourire.

Glory remercia le recteur, et suivi tout le monde vers le buffet, elle commençais aussi a avoir une petite faim.
sur le cour chemin qui la menai a celui ci, elle s'adresse au recteur ainsi qu'a Carmen.

Ce serais une joie de rejoindre la voie Lescurienne, mais voila je suis soldat a la BDN, est ce compatible, puis je faire les deux?

Dans tout les cas je me tien a votre entière disposition en cas de besoin d'un professeur.
J'aurais aussi d'autres questions au sujet de la médecine, mais nous verrons cela plus tard, pour le moment allons nous restauré.

Le buffet était bien garnis, Glory s'approche et ce serre quelques petits toasts qui semblés bien appétissants.

Enguerrand de la Mirandole s'était coiffé sa longue crinière brune et avait mis un point d'honneur à l'aspect propre de son visage. En effet, après s'être saupoudré d'une fine pellicule de blanc sur la peau, sa balafre paraissait moins horrible et son teint moins bronzé. D'autre part il avait revêtit sa tenue vestimentaire hivernale dont les plis de tissus furent soigneusement repassé à la main. Ainsi, de belle allure, le jeune dandy rejoignit la salle du Bienheureux-Pouyss où il se retrouva Peccatore.

« - Salutations mon père, dit le jeune homme en inclinant le buste à l'aide de sa canne, comme j'ai hâte ! » Avec son chapeau plume et son air hautain, Enguerrand de la Mirandole possédait toute la beauté d'un paon - trop - fier.

Isabelle avait reçu l'invitation de Frère Peccatore qui les conviait tous à la remise de diplôme de son séminariste. Se vêtissant humblement mais toujours avec joliesse d'une houppelande à traîne nacrée, elle ramena sa masse de cheveux soyeuse sur le côté dans une profusion de boucles brillantes avec pour seule parure, le bracelet que lui avait offert Aedan et deux peignes à cheveux disciplinant tant bien que mal sa cascade de boucles.

Elle venait dans cette salle pour une énième fois mais c'était toujours avec grand plaisir. Elle vit Frère Peccatore qu'elle salua avec chaleur.

Bonjour mon frère ! Comme tu le vois, me voici venue applaudir ton élève ! Me le présentes-tu ? ajouta-t-elle avec un grand sourire.

Bonjour mon frère ! fit le Doyen pour répondre aux salutations de Flex en sortant de ses pensées.

Nous allons attendre que viennent quelques personnes. J'ai convié ceux qui le souhaitaient à venir assister à cette cérémonie.

Nous allons procéder avec simplicité, comme il est de coutume dans ce couvent, mais l'instant est solennel.

Puis parurent Feuilllle et Isabelle, ce qui dessina un sourire sur la bouche taciturne de Peccatore.

Bonjour à vous, chères soeurs. Voici donc le héros du jour, Messire Enguerrand de la Mirandole, dit Flex.

Flex, voici Soeur Feuillle, professeur de théologie, et Isabelle Mac Campbell, étudiante en médecine au couvent.

Toujours bien lorsqu'il s'agit de récompenser un étudiant assidu ! fit-il avec la légèreté à la question d'Isabelle.

Nous allons commencer.

Le Doyen monta alors d'un pas leste sur l'estrade puis déclara d'une voix distincte :

Mes amis, nous voici donc à nouveau réunis aujourd'hui pour saluer la persévérance et l'application d'un étudiant de notre estimé séminaire de théologie.

Enguerrand, approche, je te prie, fit-il en regardant Flex.

Ton parcours mérite d'être salué, tant il témoigne d'une grande ténacité dans l'étude. Tu m'as confié souhaiter poursuivre tes études dans notre séminaire en vue d'obtenir le brevet lescurien, mais d'ores et déjà, à force de travail et de volonté de t'initier à la connaissance du Très-Haut notre Créateur, tu as bien mérité de recevoir de mes mains la Licence en théologie reconnue par la Préfecture à l'Enseignement Aristotélicien, dans la spécialité "Théologie pratique", avec la mention "Assez bien".

Et Peccatore tendit à son étudiant le parchemin attestant de cette réussite.



Que les cours que tu as suivis ici jusqu'à présent te servent pour ta vie présente et à venir, afin que tu te fasses toi aussi le porteur des enseignements sacrés auprès de tous.

La suite de tes études te fera sans doute revenir dans cette salle prochainement, je l'espère.
En attendant...
Toutes mes félicitations !

Et le Doyen de commencer à applaudir.